Le Gouvernement de François Legault tente de mettre en place un projet de loi qui prolongera l’état d’urgence sanitaire. En plus de permettre l’accélération des projets qui permettront à plusieurs Québécois d’avoir un emploi et donc un salaire.
État d’urgence sanitaire
Le nœud du problème, nous vivons une période d’incertitude qui nous place tous sur un bûcher. Première question à se poser : pourquoi le gouvernement a déclaré l’état d’urgence sanitaire ?
La réponse est fort simple, nous faisons face à un nouveau virus inconnu de l’homme. Virus dont nous n’avons aucun remède et dont nous n’avons toujours aucun vaccin pour nous en protéger pour l’instant. Une course mondiale a été lancée ou les plus grands fabricants travaillent sur l’élaboration d’un moyen de protection. Par chance, notre médecine a grandement évolué depuis la grippe espagnole.
Deuxième question à se poser : comment freiner un virus ? Une chose que nous savons, comment les virus parviennent, à se propagé ? Le contact humain, la proximité des gens et les échanges sociaux. Donc, l’unique moyen est de placer en isolement les personnes ou les vecteurs de propagation.
Laurent Turcot nous explique que dans l’histoire, nous avons eu recours à de nombreuses fois le principe de quarantaines. Même dans l’histoire du Québec, nous avons exploité cette solution. Pour preuve et appuyé les dire de Laurent Turcot, lisez sur l’histoire de Grosse-Île ou un mémorial envers les Irlandais morts sur cette île et enterré en se lieu protégea le Bas-Canada contre le choléra de 1826 à 1841.
Troisième question : avons-nous un remède ? Nous en sommes encore très loin. Nos connaissances du virus sont encore limitées. Plusieurs recherches sont menées à travers le monde pour trouver un remède. Ce qui nous reste et qui semble être prometteur pour l’instant est un vaccin. Si on peut empêcher un virus d’infecter un individu, la quête d’un remède pourra patienter un moment ou au moins, nous aurons un délai.
Est-il nécessaire de garder en activité l’état d’urgence sanitaire ? J’en ai bien peur. Sans remède ni vaccin, le gouvernement a besoin de pouvoir reconfiner rapidement la province. Plus rapidement que la première fois, afin de protéger l’ensemble de la population. De plus, les gens vivant dans les CHSLD sont toujours en danger. Surtout que les professionnels travaillant dans ses milieux sont toujours à l’instant insuffisants pour pallier à une seconde vague.
Tant que nous n’aurons pas le moyen de nous protéger contre la Covid-19, impossible pour le gouvernement de lever l’état d’urgence sanitaire. Surtout avec la menace d’une seconde vague du coronavirus. Donc, afin de nous protéger tous, l’unique solution est de maintenir l’état d’urgence. Le gouvernement n’a rien entre mains pour leur permettre de lever cela.
Relance économique
La Québec a vécu une pause de près de trois mois. Trois mois où nous avons tous été maintenues dans nos résidences et de ne pouvoir sortir que pour les besoins essentiels : telles l’épicerie et les pharmacies. L’économie avançait donc au ralenti. Des milliers d’emplois furent perdus avec la fermeture des nombreux commerces et entreprises n’étant pas en mesure d’offrir la possibilité à leur employé de faire leur travail à domicile par télétravail.
Donc, il était nécessaire d’ouvrir peu à peu l’économie en planifiant soigneusement comment chaque milieu pouvait opérer tout en gardant la population en sécurité. Rédiger des guides pour chaque commerces ou services puissent opérer sans mettre l’équilibre fragile de l’économie en péril.
Est-ce qu’il y a des risques reliés à la mise en place de la loi 61 ? Oui, comme toute bonne nouvelle loi. Est-elle nécessaire ? Oui, le gouvernement a dû injecter d’énormes sommes d’argent. Nous allons tous devoir payer pour rembourser le gouvernement qui a dépensé pour faire en sorte que l’économie ne s’effondre pas.
Le meilleur moyen est alors dans l’investissement de projet rentable. D’offrir à chacun des Québécois un emploi et donc de lancer en trompe les projets qui s’accumulent.
Les craintes sont réelles et le gouvernement en est conscient. Ils ne veulent pas revivre la commission Charbonneau, mais les infrastructures ne construise pas en claquant des doigts ou en criant ciseaux. Comme le premier ministre le disait, il a moyen d’alléger sans arrondir les coins et en respectant les lignes de conduite établies suite à la commission. S’est l’aspect administratif qui ralentit malheureusement les chantiers.