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Des voisins capricieux et dérangeants

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Je pensais avoir vu bien des affaires dans le secteur où mon appartement se trouve. Je vis à Montréal, dans le très grand arrondissement de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve. Un magnifique quartier que je trouve paisible, du moins, dans le secteur où j’habite. Un coin que j’ai connu à l’âge de quelques jours. J’y avais vécu jusqu’à l’âge de 25 ans, avec un intermède de quelques années pour y revenir y vivre en 2011, soit le secteur de Mercier-Ouest.

Trouvez Mercier-Ouest

Vous ne savez pas où se trouve Mercier-Ouest? Voici les étapes pour trouver ce quartier.

Étape 1 : Trouvez une carte de Montréal.

Voici une carte de l’île de Montréal, connue sous la désignation Communauté Métropolitaine de Montréal, mais sa véritable désignation est : Archipel Hochelaga.

Étape 2 : Trouvez le Stade Olympique des jeux d’été 1976.

Il fait beau, il fait chaud, et nous sommes impatients de vous accueillir de nouveau sur l'Esplanade!☀️Cependant, bien…

Posted by Parc olympique de Montréal on Tuesday, May 26, 2020
Voici le Stade Olympique de Montréal, gracieuseté de la page Facebook du Parc Olympique.

Étape 3 : Repérez le pont-tunnel Louis-Hippolyte Lafontaine.

Vous ne connaissez pas le système routier de Montréal ? Ni qui est ce cher Louis-Hippolyte Lafontaine ? Gang d’incultes.

Louis-Hippolyte Lafontaine — Premier ministre du Canada-Est de 1842-1843

Si vous ne savez pas où se situe cette infrastructure routière, vous connaissez sûrement ce fier centre d’achat. TVA Nouvelles y va souvent pour faire ses VoxPop. Les Français ont le palais de Versailles.

À Montréal, nous avons La Place Versailles.

Place Versailles

OK, ce n’est pas aussi glorieux que le Château de Versailles. La photo de la page Wikipédia date. Zellers n’existe plus. Il a été brièvement remplacé par un Target. On ne partira pas de débat sur la chaîne, on va tous se mettre d’accord qu’ils ont très mal étudié le marché canadien. Maintenant, s’est un Canadien Tirelire. Oups ! Canadien Tire. Bon, vous savez maintenant où se trouve mon quartier. N’espérez pas que je vous donne plus d’information sur ma localisation.

Les voisins…

Avec cette foutue pandémie et le fait que nous avons eu des locataires indésirables dans l’immeuble.

Voilà que le voisin d’en dessous, qui lors de son arrivé dans le bloc a trouver utile de nous prouver qu’il était un étalon en plaçant dans le chemin, le carrosse de sa dernière progéniture, est venus sonné à notre porte pour se plaindre d’un ventilateur. Un bruit que sa femme, celle qui porte sans doute la culotte dans le couple, n’est plus capable de supporter quand elle essaie de dormir à 2 h. 2 h du matin ou 14 h de l’après-midi ? Question nébuleuse dont nous n’avons aucune réponse absolue. Il nous demande d’éteindre ce ventilateur qui fait un bruit insupportable. Au moment de sa visite impromptue, seuls les ventilateurs de plafond fonctionnent. Le voisin n’est pas en mesure de nous précisé l’endroit exact d’où provient le bruit qui énerve sa femme qui travail de nuit ou peut-être de jour, disons que s’est une question nébuleuse.

Néanmoins, sauf si sa femme à des oreilles bioniques, impossibles que se soit les ventilateurs de plafond qui fonctionne alors à plein régime pour nous garder vaguement au frais. L’unique ventilateur qui pourrait être entendu est celui qui évacue l’humidité de la salle de bain, lorsque l’on prend une douche. Ventilateur qui ne peut être en fonction la nuit, sauf si on laisse la lumière de la salle de bain allumé à 2 h du matin.

EURÊKA !

Tel qu’Archimède dans son bain, je porte ma réflexion sur la deuxième heure. Soudain : EURÊKA ! Malgré l’aspect nébuleux sur le quart de travail de la femme qui porte les culottes du voisin, 14 h est l’heure où mon conjoint prend sa douche, s’est l’unique possibilité qui pourrait nuire au sommeil d’une femme qui travaillerait de nuit. Parce qu’à 2 h du matin, à Montréal, il n’est pas nécessaire d’avoir une veilleuse, il ne fait jamais aussi noir qu’un chalet en plein cœur de la forêt, une nuit nuageuse ou sans lune.

La canicule

Il semblerait que l’été essaie d’arriver enfin à Montréal, sauf qu’en Mai, une grosse canicule, s’est rare. Un bon 32 °C avec facteur humidex qui donnera une sensation de 37 °C. Horreur, pas question de vivre une canicule dans un appartement de Montréal. Sauf si on veut vider le réservoir McTavish, en se créant une piscine étroite dans le bain. Donc, nous avons installé la clim qui roule depuis hier soir à plein régime.

Par ailleurs, d’un commun accord entre moi et mon chum, si le voisin vient se plaindre du bruit qu’elle produit, on l’accueille avec un rouleau à pâte, faute d’avoir une brique et un fanal. Pas question d’arrêter l’appareil pour notre bien-être. De toute façon, personne ne peut se plaindre du bien fait de l’air frais et s’il se plaint à nouveau au propriétaire tel un bébé de 2 ans, ce jeu se joue à deux. Nous avons une liste de doléance envers lui, aussi longue que le trajet entre la station de métro la plus proche et notre appartement. Notre voisine de pallier nous sanctifie d’endurer sans broncher, les cries incessants de la progéniture du voisin. Donc, qu’il vient de plaindre, encore une fois, j’aurais une soudaine envie d’appelée un certain département qui sera sûrement intéressé à savoir l’éducation que manquante des enfants du voisin et comment un père de famille s’occupe de l’infestation de rat dans le bloc, sans avisé le propriétaire et les autres locataires.

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