Poste Canada et ses dérapages incontrôlés

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Petite histoire – l’heure du cours d’histoire

Le service postal canadien a débuté son histoire en 1775. Il devient un département fédéral en 1867 sous la dénomination : Département fédéral des bureaux de poste. Se n’est que le 16 octobre 1981 qu’il reçoit la dénomination de Poste Canada.

Et maintenant…

Poste Canada fut un service plus qu’essentiel depuis bien avant ses débuts sous cette désignation. Pendant cette ère jurassique du service postal, nous recevions une tonne de lettre pour nous aviser qu’il était temps de vider son porte-feuille pour payer les comptes ou pour recevoir une carte postale d’un ami qui voulait nous faire chier des vacances qu’il passe dans le sud pendant que son gèle au Québec en hiver ou, un prétendant qui nous écrit tout l’amour qu’il a pour nous. Sinon, une lettre d’un ami d’un pays lointain qui décide de t’envoyer de ses nouvelles sous la forme d’un roman interminable qui lui aurait sans doute coûté son salaire en frais téléphoniques.

Durant cette ère, ils ont su évolué pour parvenir à lire les adresses des enveloppes, développant une machine pour soulager les yeux des personnes responsables du tri qui devait parfois avoir un doctorat médical ou avoir été former pour être pharmacien ou d’être un grand spécialiste de l’écriture. L’appareil a hélasse couper des postes d’emploi, mais les erreurs d’envois de courrier on chuté. Hourra !

L’arrivée d’Internet

L’arrivée d’Internet a créé un grand bouleversement chez Poste Canada. Les courriels ont fait chuter les envois postaux, il était maintenant possible d’écrire à du monde à des prix que Poste Canada ne pouvait concurrencer et pour cause, l’envoi de courriel ne coûte rien, tandis qu’une enveloppe coûte 50 ¢. Quand est venus la conscience collective de faire attention à l’environnement et les factures électroniques, s’était un autre coup de grâce donner au service postal. De grandes entreprises n’avaient plus besoin d’envoyer des enveloppes pour annoncer qu’il est temps de payer les services.

L’e-commerce

Arrive par la suite, le commerce électronique qui offre la chance d’acheter un produit non vendu localement. Assis sur leur laurier, Poste Canada n’a jamais vu le tsunami qui allait déferler et fragilisé leur structure. Pourquoi fragile ? Depuis que le commercer électronique s’est établi et fait ses marques, les délais de livraisons des colis n’a fait qu’augmenté, tandis que Poste Canada s’est mis à broncher de ne pas parvenir à répondre à la demande durant le temps des fêtes.

Syndicat

Le problème n’est pas d’ordre technologique, nous sommes en mesure de suivre nos colis dans le confort de notre maison. Le problème est la mafia syndicale qui règne en maître, depuis de nombreuses années, forçant les dirigeants de Poste Canada à bichonner et chouchouter leur employé. La liste de privilège accordé au postier est presque aussi longue que la transcanadienne.

Si une sonnette n’est pas conforme, un avis de cueillette est placé et vous ne pouvez récupérer votre colis que le lendemain au bureau de poste qui dessert votre secteur et se bien que vous avez attendue toute la journée pour qu’il être sur de ne pas avoir à vous déplacez au bureau de poste.

De plus, si l’entrée menant jusqu’à votre n’est pas proprement déneigé aussi clairement que l’image suivante.

Offre une excuse aux postiers pour ne pas livrer le courrier et les colis. Même si vous n’avez que cinq centimètres de neige. Si le postier n’est pas en mesure de voir l’hypothétique existence d’une plaque de glace, il ne se rendra même pas à votre porte pendant que vous patientez paisiblement dans votre salon en sirotant votre café.

Sinon, les facteurs s’offrent de belles pauses pour récupérer entre deux ou trois livraisons. Preuve à l’appui : Une sieste de 2 h 30 pour un employé de Postes Canada. Source : TVA Nouvelles Par chance, le syndicat n’a pue rien faire pour aider le pauvre petit employé. Poste Canada avait les projecteurs pointés sur eux et la preuve était monumental.

Une solution ?

L’unique solution est que je verrais pour régler se problème, serait de retirer leur droit d’être syndiqué pendant une période indéterminée. Si se métier fut jadis une vocation, aujourd’hui à cause du syndicat qui leur offre le beurre et l’argent du beurre, le métier est devenue une vraie blague et une place où l’on peut choisir si ont livre ou pas.

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